* Écrit par: Barbara
Dans ce dernier livre, Florence affronte la problématique de l´avortement ou comme elle préfère le dire “l´interruption volontaire de la grossesse”. En partant de sa propre expérience il y a 45 années á Paris, á l´âge de 22 ans (10 années avant de la légalisation totale de l’avortement an France, avec la Loi Veil de 1975), Florence montre le drame qui vivent toutes les femmes qu’ont affronté cette douloureuse situation, et spécialement en Colombie, qu´après des années de luttes légales, on obtenu la dépénalisation de l`avortement, mais seulement en trois cas exceptionnels, cependant, ces cas exceptés, l´avortement continue á être clandestin et illégal.
17 de mayo de 2011 08:44
Les derniers jours de l`année 2010, Florence Thomas a publié son dernier libre “ON DEVAIT LE DIRE”. Psychologue franco-colombienne, Florance s´est engagée comme professeur du Département de Psychologie de l´Université National depuis 1967 et depuis 1985, comme coordinatrice du Groupe Femme et Société de la même université. Cette féministe a publié plusieurs livres qu`ont traité différents thèmes de la problématique de la femme tout au long de l´histoire.
Dans ce dernier livre, Florence affronte la problématique de l´avortement ou comme elle préfère le dire “l´interruption volontaire de la grossesse”. En partant de sa propre expérience il y a 45 années á Paris, á l´âge de 22 ans (10 années avant de la légalisation totale de l’avortement an France, avec la Loi Veil de 1975), Florence montre le drame qui vivent toutes les femmes qu’ont affronté cette douloureuse situation, et spécialement en Colombie, qu´après des années de luttes légales, on obtenu la dépénalisation de l`avortement, mais seulement en trois cas exceptionnels, cependant, ces cas exceptés, l´avortement continue á être clandestin et illégal.
Cependant, Florence présente quelques cas de femmes colombiennes que même si elles ont été dans les cas montrés dans la sentence de la Cour Constitutionnel elles ont été victimes de toute classe de liens pour exécuter le droit qui les a octroyé la loi.
Elle soutient le droit d´avoir d´ enfant produits de l´amour et le désir á travers de la lettre d´un embryon qui n´a pas voulu devenir fœtus et se réjouit de n´avoir pas né. Elle complémente son argumentation avec le texte de la “ Loi Veil ” qu´approuve l`avortement en France en 1975.
Finalement, Florence croit que dans cinq années la légalisation totale de l`avortement sera une réalité en Colombie permettant un monde où les femmes pourront décider sur son propre corps et seront des protagonistes de sa propre vie.
Très bien Barbara
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